
Entre francophiles et francophobes le francophone ne sait plus où donner de la tête. Pour les premiers la langue de Molière à tous les droits que puisse avoir un maître sur son esclave. Pour les seconds elle est tout simplement bonne à être privée de son droit élémentaire à pousser, vu qu’ elle ressemble à ces plantes vénéneuses qui ne prennent racine quelque part que pour rendre le sol inapte à la reproduction, et au renouvellement de sa faune et de sa flore.