Un président pas comme les autres
Depuis son accession à la magistrature suprême suite à une élection transparente laquelle tous les candidats qui étaient en lisse ont affirmé sa transparence par rapport aux élections présidentielles qu’a connu le pays depuis son indépendance ; le chef de l’Etat Monsieur Mohamed Ould Mohamed Cheikh El Ghazouani n’a cessé d’intriguer ses collaborateurs , l’opinion nationale et international par sa clarté, sa clairvoyance et sa vision très profonde pour une Mauritanie indépendante depuis 60 ans.
Une Mauritanie indépendante mais qui reste l’un des pays les plus pauvres et le moins avancé de la sous-région en raison de la corruption et des cumuls des erreurs du passé.
Cependant, la célébration du soixantenaire de la république islamique de Mauritanie a connu un nouvel élan patriotique affirmé et confirmé par les mesures sociales du Président de la république jamais connues d’exemple depuis l’indépendance jusqu’à nos jour et qui touche la Mauritanie profonde.
Selon ces mesures, le personnel de la santé bénéficiera d’une hausse de 30% de leurs salaires et d’une généralisation de leur prime de risque. Les pensions de retraites seront quant à elles augmentées à 100 % et même payées tous les mois, alors que les primes des enseignants seront augmentées pour les encourager à travailler dans des zones éloignées.
Rupture avec la politique d’antan
On peut même affirmer que ces actions sociales prises renforcent l’unité nationale et constituent une rupture totale avec la démagogie et la politique d’antan.
Ce que doivent comprendre nos politiques (toutes obédiences confondues) et nos cadres qui dirigent le pays que le passé est derrière nous et que le Président de la république veut un travail correct et positif au profit des citoyens et non des discours machiavéliques .
Vraisemblablement, cette nouvelle action du président de la république à fait coulé beaucoup d’encre et de salive et en même temps, elle a suscité beaucoup d’enthousiasme chez des populations menacées par la sécheresse et la pandémie de Covid-19 ou près de 560 000 personnes en situation d’insécurité alimentaire mais qui commencent aujourd’hui à aspirer aller vers le meilleur.
Barikala Ould Chein